un article de
Les freins à la reprise de l’entreprise familiale par les filles
par et Associate professor, Montpellier Business School – UGEI
Quelques idées retranscrites qui m’ont parle autour de Transmettre l’Entreprise à sa fille
- Déjà, en France la transmission aux descendants est problématique en France, 12 % d’entreprises sont ainsi transmises à la famille, contre 65 % en Allemagne et 76 % en Italie.
- Et, bien entendu, les héritières sont très minoritaires alors qu’on a plusieurs exemples très réussis, je ne peux m’empêcher de citer la Sophie Bellon et Sodexo
- Pourquoi? Il faut ici à la fois faire appel a des ressorts psychologiques et à la sociologie nous disent avec justesse les auteurEs: la faible socialisation au sein de l’entreprise ; la protection du père qui peut pousser le dirigeant à éviter à sa fille une position à « risques »; la difficulté des filles à évoquer la succession, donc la retraite, donc la vieillesse voire la mort du « père » ; des injonctions paradoxales: comment être la « petite fille à son papa » et une femme d’affaires indépendante? Et puis il peut y avoir des jalousies fraternelles qui se cristallisent sur la rivalité de la direction de l’entreprise
- Connaitre l’entreprise de l’intérieur et bien la connaitre mais avoir aussi un parcours à l’extérieur conséquent qui assure experience et indépendance, vision personnelle de la stratégie de l’Entreprise fe famille.
- Mon commentaire personnel :oui, ca évolue, oui ces réflexes d’un autre temps de transmission au fils ainé s’effacent mais comme souvent on exige des filles : plus plus plus…
A must read , merci aux auteurEs de cette étude…