Transmettre ou simplement Partager entre générations ?

Transmettre ou tout simplement Partager entre générations ? Startuppeuses même combat !!!

Transmettre ou tout simplement Partager entre générations ?
Le 4 mains mère-fille, à partir du livre « Génération Startuppeuse ou la nouvelle ère » par Viviane[1] et Marine de Beaufort[2] à propos de l’association sur la Startup @Voy’Agir

Mes constats « centrifugés » par Marine marine-de-beaufort-women-up-voyagir

c’est LA : 

http://network-womenup.com/transmettre-ou-tout-simplement-partager-entre-generations/

1. Les #Startuppeuses de la GENERATION Y sont éduquées dans l’idée d’égalité et de réalisation personnelle par le travail, mais elles ont vu leurs parents souffrir et ont une conscience claire des bouleversements du monde… Elles se sont donc mises à penser et jouer autrement leur vie souhaitant jouer un rôle actif dans ces changements de modèles tout en préservant leur équilibre de vie.

2. Créer une entreprise est désormais un acte politique ! Elles créent « for doing good ». Les projets de la génération #startuppeuse partent souvent du constat d’un manque dans le système, dans la société, manque auquel elle souhaite remédier en utilisant les nouveau outils du digital et en intégrant intrinsèquement les valeurs dites de l’ESS, même si tous les projets ne relèvent pas de ce secteur stricto sensu.

3. Génération connectée mais pas si prisonnières du digital, elles ont grandi avec les outils du web et les RSS, savent les décoder, se les approprier sans se faire envahir. Par ailleurs, elles ont besoin de réhumaniser leurs relations et ont souvent des engagements bénévoles.

4. Leur projet s’insère souvent dans leur construction personnelle, au cœur de leur vie, la séparation pro / perso a quasiment disparu avec le digital et la mobilité qu’il permet, mais aussi parce qu’elles embarquent leur petit monde dans l’aventure. Associée moi–même, et ce n’était pas prévu, dans @voyagir, je me demande s’il n’y a pas une nouvelle génération d’entreprises créées par les enfants auxquelles les parents vont participer mais avec leur enfant comme boss. Les ponts doivent se faire entre nos générations et c’est valable sur des projets dans les grandes entreprises.

5. Si malgré cet enthousiasme, cette agilité, cette détermination… leur projet échoue, elles rebondissent ; elles ont souvent anticipé la possibilité cassant ainsi les codes usés de notre culture entrepreneuriale paralysée par la peur de l’échec.