Entrepreneuriat féminin en Afrique – Une étude du cabinet Roland Berger démontre qu’on retrouve les mêmes fondamentaux GEN #Startuppeuse: créer pour avoir un #Impact !

« 84% des femmes souhaitent entreprendre pour changer le monde. »

Portrait of Anne Bioulac

Roland Berger et Women in Africa Philanthropy ont mené cette enquête unique en recueillant les points de vue de femmes et d’hommes afin de donner un aperçu global des réalités de l’entrepreneuriat féminin en Afrique

Anne BioulacSENIOR PARTNER, CO-MANAGING PARTNER PARIS OFFICEParis Office, Western Europe

Le marché de l’entrepreneurial féminin en Afrique est caractérisé par trois failles majeures. Le manque de formation, l’absence d’acteurs extérieurs et l’inégalité entre les genres sont autant de lacunes qui entravent son développement

Le manque de conseil financier s’ajoute à la difficulté d’accéder à des structures de financement. Ce double manque rend les processus de levées de fonds particulièrement laborieux, notamment pour les femmes.

Importance de l’EDUCATION : Selon Laura Kakon, directrice marketing de Honoris United Universities, les compétences entrepreneuriales sont nécessaires quel que soit le domaine d’activité, du professionnel de santé qui doit créer des structures efficaces à l’ingénieur en mécanique qui doit gérer son propre compte de résultat en passant par l’architecte indépendant qui vend ses services sur un marché concurrentiel : « En outre, en cherchant à développer les compétences entrepreneuriales en cours de formation, on démocratise le monde des affaires et de la profession libérale en donnant aux étudiants le goût d’explorer, d’idéaliser et de collaborer. L’esprit d’entreprise est séduisant et contagieux – plus nous l’enseignons, plus il grandit

https://www.rolandberger.com/fr/Publications/Le-continent-africain-fait-de-l%E2%80%99entrepreneuriat-un-facteur-d%E2%80%99%C3%A9mancipation.htmlh